de Pékin à Shaolinsi
Pékin Pingyao
600 km, les 400
premiers se passe bien.
Mais il y a toujours un moment, sur les autoroutes, où il y
a des travaux, ce qui veut dire autoroute fermée donc déviation qui nous dirige
vers une ville.
Comment vous raconter une ville chinoise, c’est
inracontable.
Imaginez, nous, petits points insignifiants, dans cette méga ville essayant de trouver
notre direction.
L’écriture cyrillique c’était « fastoche » en
comparaison des idéogrammes de la langue chinoise.
Arrivée à Pingyao au coucher du soleil
C’est dans cette région qu’a commencé la route de la soie.
Pingyao est une des plus anciennes villes chinoises,
entourée de remparts avec ses temples, ses logements résidentiels, ses
magasins, ses rues. La ville n’a subi que peu de changement depuis la dynastie
Ming (1640).
C’est ici, en 1823, qu’a été mis en place les prémices du système
bancaire. Pour éviter de transporter des minéraux, or, argent pour les
transactions, un marchand a eu l’idée de créer les premières « lettres de
change ».
Pingyao – Shaolinsi
Région de moyennes montagnes.
On passe de viaducs (au moins une soixantaine rien que pour
500km) en tunnels. Avec de temps en temps, sur le bord de l’autoroute, tout
seul, un p’tit bonhomme avec son p’tit balaie en paille, qui assure
l’entretien.
En parallèle, la construction d’une ligne TGV complètement
sur viaduc.
Et partout des cultures, tout est très vert, l’arrosage est
fait à partir du pompage des nappes fossiles car l’eau se fait rare.
Depuis qu’on a quitté Pékin on a perdu le ciel bleu………la
pollution enveloppe tout de gris
Ce qu'il reste du fleuve jaune, asséché et pollué.
Economie de couche.
Recyclage pour Jean-Mi vendeur de crêpes
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