Balade à l'horizon

Tamanar.

C'est la capitale du pays des arganiers endémiques dans le sud du Maroc.

L'arbre est très prisé des chèvres qui grimpent sur ses branches. Il faut reconnaître qu'elles n'ont pas beaucoup d'herbe à se mettre sous la dent.

Festin acrobatique.

Le fruit de l'arganier, la noix d'argan, produit une huile très recherchée. Son extraction est complexe.

Les fruits sont séchés puis débarrassés de leurs écorces qui serviront d'aliments pour les animaux.

L'amande que contient ce noyau sera grillée puis réduite en pâte pour en extraire une huile au goût de noisette.

Il faut 30 kg de noix pour obtenir 1 litre d'huile.

Elle est aussi vendue pour ses qualités cosmétiques mais la préparation est un peu différente.

La route du miel.

La route sinueuse et étroite traverse des collines dénudées mais aussi des oasis verdoyants, des palmeraies,

d’où émergent des villages que l'on croirait abandonné.

Agadir.

Juste un arrêt pour faire quelques courses que l'on ne trouve pas dans les souks.

Agadir et sa banlieue sont aussi propres qu'Essaouira. Ce qui prouve que quand on veut........

A quelques kilomètres de la ville, nous avons fait l'expérience d'un terrain de camping pour Européens. Entre 3 et 400 places. Les CC sont bien serrés les uns contre les autres avec chacun son petit bout de terrain que les CCaristes délimitent pour que le voisin n'empiète pas sur ses quelques mètres carrés.

Cela fait un peu maison de retraite au soleil.

A chacun sa notion du bonheur.

Nous avons trouvé un nouveau lieu de villégiature pour les retraités.

L'Anti-Atlas.

Sur les pentes des montagnes de nombreux villages et cultures en terrasses.

Les maisons sont en harmonie avec les couleurs du sol.

Tafraoute.

Nous y avons retrouvé des amis qui remontent vers le nord.

Palmeraie au pied des empilements de grès.

On demande un objet, l'artisan le façonne aussitôt.

C'est le pays des Ammeln. Les femmes sont vêtues du traditionnel haïk bleu nuit

ou noir selon les villages, souligné d'un galon de couleur.

Ils sont réputés pour leurs babouches. Selon la coutume jaune pour les hommes, rouge pour les femmes. Il y a aussi une multitude de teintes, de semelle (caoutchouc de pneu pour les BTT : babouches tous terrains), certaines très travaillées.

Village Berbères.

Beaucoup de maisons sont construites sur d'énormes rochers arrondis, la plupart sont en ruine, un Berbère a remis en état sa maison de famille et l'a fait visiter.

Meule pour concasser les céréales.

Berceau

A la fin de la visite, avec sa femme, ils nous ont offerts le thé avec tout le cérémonial de la préparation.

Un délice.

Gorges d'Aît – Mansour.

Palmeraie au pied de deux immenses parois rocheuses.

Vallée des Ammeln, baptisée » la vallée des Amandes », en raison du grand nombres d'amandiers qui y poussent. Ils sont en fleurs, la floraison ne dure qu'une quinzaine de jours vers la mi-février et nous avons la chance d'être présents.

Il y a toujours beaucoup de village au milieu de nul part. Question : comment et de quoi vivent les habitants ???

Celui là il y a longtemps qu'il a été abandonné.

Rencontre avec un troupeau de dromadaires et leurs bébés.