Islande 2
Akureyri.
Deuxième ville irlandaise (17 000 habitants).
Aucun endroit que nous ayons eu envie d'immortaliser.
L'église, qui semblait présenter un intérêt était fermée, elle se visite à des heures changeant fréquemment.
Pour sauver l'honneur un superbe jardin botanique, étonnant si près du cercle polaire.
Toutes les variétés endémiques d'Islande y sont représentées.
Nous en avons profité pour remplir frigo et placards, les magasins des villages sont peu achalandés.
En Islande la cuisine traditionnelle a été marquée par des siècles de misère et de famine.
Le mouton, le poisson, les oiseaux marins et leurs œufs, pain et légumes simples (pommes de terre) constituaient la nourriture de base.
Tout était bon à manger, tête, intestins, foie, sang, testicules......
Les produits ont peu changé depuis des siècles.
Quelques spécialités toujours « dégustées » :
Sursadir hrutspungar. Pain de testicules de bélier cuits dans du petit-lait.
Hakarl. Requin laissé six mois enfoui sous terre, pour qu'il devienne comestible (sa chair fraîche est toxique).
Svid. Tête de mouton roussie sciée en deux, bouillie et que l'on mange macérée avec du vinaigre.
Miiiiiaaammm
Siglufjördur.
Port typique du nord autrefois prospère, jusqu'à la disparition du hareng sur la côte nord de l'Islande dans les années 60.
Aujourd'hui la ville somnole en attendant les touristes.
Hölar
Ancien centre religieux.
Cathédrale avec sa façade de grès rouge.
Ferme historique en tourbe du XIXe siècle, habitée jusqu'aux années 50.
Le cheval islandais .
Arrivé sur l'île avec les Vikings, il n'a presque pas changé depuis plus d'un millénaire.
Il fait l'objet de protections strictes, interdiction d'introduire d'autres chevaux dans le pays.
Trapus (1,35m au garrot) le poil fournit et le pied agile, il est parfaitement adapté à la rudesse du territoire.
Les fjords de l'Ouest.
C'est l'un des environnement les plus hostiles du pays.
Quelques petites villes, des hameaux perdus, des fermes abandonnées, peu de terre cultivable et une population vieillissante, l'exode rural frappe particulièrement la région de fjords.
Isafjardardup.
Le plus grand (75km de longueur), une route tortueuse contourne une succession de plus petits fjords.
Au détour de l'un d'entre eux une rencontre inattendue.
Des phoques se prélassent au soleil.
Osvör.
Anciennes maisons de pêcheurs et son séchoir à poissons.
Séance " bronzage"
Dyrafjördur
Anarfjördur
Talknafjördur
Bouchon sur la piste.
Patreksfjördur
Falaises vertigineuses, montagnes, plages de sable blanc (désertes, on se demande pourquoi !!!) et pour finir une piste pour arriver à Latrabjarg, célèbre pour ses falaises aux oiseaux.
Elles abritent l'une des plus forte concentrations d'oiseaux marins de tout le pays, des.....
qui y nidifient de juin à août.......
Nous sommes arrivés trop tard pour les voir, seuls rescapés, deux drôles d'oiseaux non classifiés et frigorifiés.
Les islandais disent que « si nous avons froid, c'est que nous sommes mal équipés » !!!!!!!!
Épave du Gardar.
Il a mal négocié le « virage fjörd ».
Kleifabdi, la statue surveille le Patresksfjördur, à l’extrême ouest de l'île, édifiée en 1947 par les ouvriers pour célébrer l’achèvement du tronçon le plus difficile de la route.
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