la fin de la steppe
Le moindre petit point d'eau , on s'arrête
Même si on aime la nature,
après une dizaine de jours de désert et de steppe, toute ville nous
parait agréable.
C’est le cas d’Astrakhan qui s’étale le long et sur les
multiples bras de la Volga.
Elle a conservé quelques vestiges de sa richesse passée.
Elle a du sa prospérité au commerce de l’esturgeon et à son caviar.
Sous les effets de la pollution et du braconnage la
reproduction de ce poisson s’est effondrée.
Donc pas de caviar.
Pas d’astrakan non plus, j’aurais bien
aimé acheter quelques petites toques pour se protéger des rigueurs de nos
hivers.
A peine sorti de la ville nous retrouvons une route
rectiligne au milieu de la steppe.
Après quelques centaines de kilomètres ça et là un buisson
puis deux…..un arbre puis deux….quelques brins d’herbe puis……..
En légère surcharge
La route appartient à tout le monde
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