Sud de la Namibie
Hyppotrague
Springbok noir
Cobe
Nous avons fait un long détour pour arriver au » Kgalagadi Transfrontier Parc » car c’est l’un des endroits où vivent des grands fauves, lions, guépards, hyènes………………
Grosse déception, après avoir sillonner le parc nous ne les avons pas rencontrés.
Nous avons quand même vu des girafes, oryx, antilopes…. mais aussi moins spectaculaires,
des écureuils,
suricates,
pie-grièche à poitrine cramoisie
mangouste
le « républicain sociale » un passereau endémique des zones arides du sud de l’Afrique.
Ces oiseaux de la taille d’un moineau ont la particularité de construire des nids collectifs fait de brindilles et de paille aux dimensions hors normes suspendus aux arbres.
C’est un peu comme une grande résidence composée de centaines d’appartements. Ils accueillent une centaine de familles différentes, soit jusqu’à 500 oiseaux et abritent plusieurs générations.
Chaque couple et ses petits occupent une chambre, elles sont reliées à l’extérieur par des tunnels verticaux de 25 cm de long.
Le nid présente des propriétés de thermorégulation, la chaleur y est supportable en saison sèche et isole du froid même au cœur de l’hiver. Extraordinaire ingéniosité des animaux.
Celui-là, je n’ai pas trouvé son nom mais j’aime beaucoup son air bougon.
Incroyables autruches, nous les avons vues partout même dans les endroits les plus désertiques.
Lüderitz
Coincée entre le désert de Namib et la côte atlantique battue par les vents. Elle fut créée en 1908, suite à la découverte de diamants dans la région.
Son air de relique coloniale allemande et son architecture surréaliste art nouveau ne nous a pas séduit.
Certains endroits mériteraient d’être débaptisés.
Ville fantôme de Kolmansskop.
Ville minière abandonnée après la Seconde Guerre mondiale suite à la chute des ventes de diamants.
Il y a bien longtemps que cette gare a vu passer un train.
Chevaux sauvages.
Les plaines désertiques abritent quelques-uns des seuls chevaux sauvages au monde capable de vivre
dans le désert. Leur origine est floue, peut-être les descendants des chevaux de la cavalerie de
l’armée impériale Allemande. Ils se sont adaptés à leur environnement, sont plus petits que leurs
ancêtres et sont capables de vivre sans eau pendant cinq jours consécutifs.
Celui-ci a bien intégré les côtés positifs du tourisme. Il est venu quémander…. Nous lui avons donné des pommes, il a aimé.
Fish River Canyon
Enorme faille de 160 km de longueur et 27 km de largeur creusée par la Fish River au cours des millénaires.
La roche nue et l’absence de végétation lui donne un côté austère.
C’est une symphonie de pierre aux dimensions gigantesques.
Horse Shoe
Curiosité botanique, le kokerboom un aloès poussant uniquement dans le sud de la Namibie.
Nous nous sommes fait encore avoir par les babouins, j’ai entendu du bruit, le temps de me retourner et ils avaient déjà chaparder tout ce qui était à portée de pattes.
Ils sont comme moi, ils aiment les pamplemousses.
Nous ne voyons plus beaucoup d’animaux, nous avons pris un tel plaisir à les chercher, observer, photographier mais aussi parfois les éviter, que maintenant ils manquent dans les paysages
Le long du fleuve Orange qui fait office de frontière avec l’Afrique du Sud.
Surprise, après toutes les rivières que nous avons vu asséchées, il y a de l’eau.
Dans la vallée quelques cultures, surtout des vignes.
Guêpier
Un martin-pêcheur
Pêchant
Cormoran Africain
Nous quittons la Namibie et ses époustouflants, extravagants, impressionnants paysages entre immenses étendues désertiques et montagnes.
Dernière photo namibienne au poste frontière, un rosy faced lovebird
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